Celui qui dit après la prière du fajr et celle du maghrib 10x :
لاَ إِلَهَ إِلاَّ الله وَحْدَهُ لاَ شَرِيكَ لَه لَهُ المُلْكُ وَلهُ الحَمْدُ يُحْيِي وَيُمِيت وَهُوَ عَلَى كُلِّ شَيءٍ قَدِير
En phonétique: La Ilaha Illa Allah Wahdahou La Charika Lah Lahoul Moulk Wa Lahoul Hamd Youhyi Wa Youmit Wa Houwa 'Ala Koulli Chay'in Qadir
Il n'y a pas de divinité méritant d'être adorée en dehors d'Allah seul sans associé, à Lui la royauté, à Lui la louange. Il fait vivre et mourir et est puissant sur toute chose.
- Son Bienfait :
Allah inscrit pour chaque fois dix bonnes actions, efface dix péchés, élève la personne de dix degrés.
Ces paroles sont pour la personne un refuge contre tout mal et un refuge contre Chaytan le lapidé.
Il n'est pas permis à un péché de le rattraper si ce n'est l'association et il fait partie des meilleurs des gens en acte sauf un homme qui le dépasse en disant mieux que ce que la personne a dit.
Note : une condition doit être respecté pour avoir ce bienfait.
La personne doit conserver la position qu'elle avait à la fin de la prière.
- La Preuve :
D'après 'Abder Rahman Ibn Ghanm (qu'Allah l'agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Celui qui dit dix fois après la prière du maghreb et du sobh, avant d'avoir déplié ses jambes (1): -Il n'y a pas de divinité méritant d'être adorée en dehors d'Allah seul sans associé, à Lui la royauté, à Lui la louange. Il fait vivre et mourir et est puissant sur toute chose-, Allah lui inscrit pour chaque fois dix bonnes actions, lui efface dix péchés, l'élève de dix degrés.
Ces paroles sont pour lui un refuge contre tout mal et un refuge contre Chaytan le lapidé.
Il n'est pas permis (2) à un péché de le rattraper si ce n'est l'association et il fait partie des meilleurs des gens en acte sauf un homme qui le dépasse en disant mieux que ce qu'il a dit (3) ».
(Rapporté par Ahmed dans son Mousnad n°17990 et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Targhib n°477)
Ces paroles sont pour lui un refuge contre tout mal et un refuge contre Chaytan le lapidé.
Il n'est pas permis (2) à un péché de le rattraper si ce n'est l'association et il fait partie des meilleurs des gens en acte sauf un homme qui le dépasse en disant mieux que ce qu'il a dit (3) ».
(Rapporté par Ahmed dans son Mousnad n°17990 et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Targhib n°477)
(1) C'est à dire qu'il reste dans la même position assise qu'il avait à la fin de la prière.
(2) C'est à dire -il n'est pas possible qu'un péché ne le rattrape...-
Le sens est que ce qu'il va faire comme péché lui sera pardonné sauf s'il pratique l'association à Allah alors il ne sera pas pardonné.
(3) C'est à dire en disant les mêmes choses mais en ajoutant en plus de cela d'autres formules de rappel ou d'autres actions de piété.
(2) C'est à dire -il n'est pas possible qu'un péché ne le rattrape...-
Le sens est que ce qu'il va faire comme péché lui sera pardonné sauf s'il pratique l'association à Allah alors il ne sera pas pardonné.
(3) C'est à dire en disant les mêmes choses mais en ajoutant en plus de cela d'autres formules de rappel ou d'autres actions de piété.
Ces commentaires sont tirés de la Hachiya 'Alal Mousnad de l'imam Sindi